LE LOUVRE AU CREPUSCULE
L'esprit ouvert à la contemplation j'avance sur le quai de Coti.
J'observe les frontons, balcons, et sculptures qui ornent les vielles façades parisiennes.
La nuit et ses ombres envahissent doucement la ville...
Alors que le soir approche Paris me laisse découvrir la vie qui l'anime.
Sur l'autre côté de la seine se dresse le puissant édifice. Je suis fascinée par la force qui émane de cette scène. Les contours du musée découpent l'obscurité.
Derrière le monument le ciel épais vit une métamorphose dramatique.
Entre les nuages tourmentés perce une lumière éclatante.
Le Louvre au crépuscule...
Je ressens un vertige devant cette silhouette majestueuse.
A l'horizon l'allure noble de cette masse imposante, à ces pieds la présence des sculptures qui nous observent. « Le Louvre est beau à deux lieues et beau à deux pas »(Victor Hugo).
Avec une infinie de teintes sombres je veux composer cette palette nocturne;
Peindre cette vision dans une harmonie saturée de noirs, de gris, d'ocre et de brun...
J'observe les frontons, balcons, et sculptures qui ornent les vielles façades parisiennes.
La nuit et ses ombres envahissent doucement la ville...
Alors que le soir approche Paris me laisse découvrir la vie qui l'anime.
Sur l'autre côté de la seine se dresse le puissant édifice. Je suis fascinée par la force qui émane de cette scène. Les contours du musée découpent l'obscurité.
Derrière le monument le ciel épais vit une métamorphose dramatique.
Entre les nuages tourmentés perce une lumière éclatante.
Le Louvre au crépuscule...
Je ressens un vertige devant cette silhouette majestueuse.
A l'horizon l'allure noble de cette masse imposante, à ces pieds la présence des sculptures qui nous observent. « Le Louvre est beau à deux lieues et beau à deux pas »(Victor Hugo).
Avec une infinie de teintes sombres je veux composer cette palette nocturne;
Peindre cette vision dans une harmonie saturée de noirs, de gris, d'ocre et de brun...