la lettre : 1er janvier 1976, écrite il y a 10 ans
Mon amour,
Chaque jour, je m'efforce de penser à ces longs moments passés en ta présence.
Cela me fait tenir et m'aide à vivre dans ce monde d'injustice et d’hypocrite.
A chaque secondes, mon imagination me joue des tours je te vois là arrivant derrière cette porte près à l’ouvrir toi accourant vers moi me serrant fort dans tes bras si fort que j’en fini par ne plus penser a rien.
Ces doux moments j’en rêve chaque nuits de pouvoir les revivre un jour a tes cotés, un jour prochain je l’espère.
Pouvoir me sentir au creux de toi au moins une dernière fois j’y pense sans cesse.
Je t’en pris reviens moi vite.
Rien que le fait de pouvoir te serrer dans mes bras, j’en frémis de passion d’espoir mais aussi de désespoir.
Ou que tu sois quoi qu’il arrive quoi que tu deviennes je t’aimerais encore et encore, autant et toujours jusqu'à ce que la mort nous sépare, pour le meilleur avenir, tout comme pour le pire.
Pour nous, tu seras toujours le même homme un père fier, honnête et fort toujours la quoi qu’il arrive fidele aux siens et aimant de tous.
Je m’accroche à ses courts instants ou je te visite au parloir pour tenir dans mes moments de déprime.
Laisse le temps te guérir de cette incompréhension en t’aidant de tes pensées pour nous, nous qui sommes cachés quelque parts dans l’ombre de ta tristesse, quelques part dans le fond de tes pensées, de ton esprit. On le sait grâce à nous, le temps te semble bien moins long.
Tes enfants et a femme t’attendent avec patience et impatience.
A la maison, depuis ton départ, sa parle peu, sa pleure, en ton absence beaucoup de larme on su coulées de nos doux visages d’enfants.
Pour ce qui est des cigarettes, ne t’inquiète pas, je t’en excuse milles fois ; je m’y suis mise également.
Nous aussi connaissons ces durs et interminables moments de tension en ces instants présents.
Toi mon aimé tu nous rêve nous nous gardons espoir de te revoir.
Plus le temps passera plus de lettres tu recevras.
Mon cher et tendre saches que les tiens t’aiment, vivent également de toi par toi a travers toi et uniquement de toi. Chaque minute tu es avec nous par la pensée.
Nous ne passons pas un seul instant sans que tu ne sois la.
bon retour prochain a la maison nous t'attendons.
tu sais tes enfants t'aiment tu leurs manquent.
PS : tu m'excuseras du retard mais la poste eux aussi ont des soucis et les transports n'en parlons pas ; d'ou mon manque de visite.
ta femme chérie bien aimée qui t'aime et a qui tu manques énormément.
Chaque jour, je m'efforce de penser à ces longs moments passés en ta présence.
Cela me fait tenir et m'aide à vivre dans ce monde d'injustice et d’hypocrite.
A chaque secondes, mon imagination me joue des tours je te vois là arrivant derrière cette porte près à l’ouvrir toi accourant vers moi me serrant fort dans tes bras si fort que j’en fini par ne plus penser a rien.
Ces doux moments j’en rêve chaque nuits de pouvoir les revivre un jour a tes cotés, un jour prochain je l’espère.
Pouvoir me sentir au creux de toi au moins une dernière fois j’y pense sans cesse.
Je t’en pris reviens moi vite.
Rien que le fait de pouvoir te serrer dans mes bras, j’en frémis de passion d’espoir mais aussi de désespoir.
Ou que tu sois quoi qu’il arrive quoi que tu deviennes je t’aimerais encore et encore, autant et toujours jusqu'à ce que la mort nous sépare, pour le meilleur avenir, tout comme pour le pire.
Pour nous, tu seras toujours le même homme un père fier, honnête et fort toujours la quoi qu’il arrive fidele aux siens et aimant de tous.
Je m’accroche à ses courts instants ou je te visite au parloir pour tenir dans mes moments de déprime.
Laisse le temps te guérir de cette incompréhension en t’aidant de tes pensées pour nous, nous qui sommes cachés quelque parts dans l’ombre de ta tristesse, quelques part dans le fond de tes pensées, de ton esprit. On le sait grâce à nous, le temps te semble bien moins long.
Tes enfants et a femme t’attendent avec patience et impatience.
A la maison, depuis ton départ, sa parle peu, sa pleure, en ton absence beaucoup de larme on su coulées de nos doux visages d’enfants.
Pour ce qui est des cigarettes, ne t’inquiète pas, je t’en excuse milles fois ; je m’y suis mise également.
Nous aussi connaissons ces durs et interminables moments de tension en ces instants présents.
Toi mon aimé tu nous rêve nous nous gardons espoir de te revoir.
Plus le temps passera plus de lettres tu recevras.
Mon cher et tendre saches que les tiens t’aiment, vivent également de toi par toi a travers toi et uniquement de toi. Chaque minute tu es avec nous par la pensée.
Nous ne passons pas un seul instant sans que tu ne sois la.
bon retour prochain a la maison nous t'attendons.
tu sais tes enfants t'aiment tu leurs manquent.
PS : tu m'excuseras du retard mais la poste eux aussi ont des soucis et les transports n'en parlons pas ; d'ou mon manque de visite.
ta femme chérie bien aimée qui t'aime et a qui tu manques énormément.