Là où la matière s’efface, l’image persiste. Le corps se décompose dans une fusion de textile et de terre, laissant une empreinte fragile entre l’humain et son effacement. L’image vacille entre le vestige et la présence, un souvenir altéré par la matière brute. Ce qui reste, c’est la tension entre disparition et mémoire, un dialogue silencieux avec l’oubli. Toute forme est une trace en sursis. Rien ne disparaît, tout se transforme en vestige. L’identité s’efface, le corps persiste...

54 coups de cœur |

9 coups de technique

Artiste : shaked adiv | Voir ses œuvres | peinture | Visite : 81

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