L'Amour de l'Instant

L'Amour de l'Instant

L'Amour de Ce Qui Est Il y avait deux,quatre ou plus, un homme et une femme, qui se croisaient, se regardaient, et parfois se souriaient. Ils n'étaient ni amoureux ni indifférents, mais dans leur regard, il y avait quelque chose de particulier : un sentiment d'impermanence, de légèreté. Ils se connaissaient depuis un moment, mais quelque chose en eux les rendait hésitants à s’avouer l’amour. Peut-être qu’ils l’aimaient, ou peut-être qu'ils ne l’aimaient pas. Ils se retrouvaient dans des mo

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Artiste : Artcreators | Voir ses œuvres | peinture | Visite : 150 | Prix : 000000000 €

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Quand la Compétition Détruit l'Amitié

Les Copains et la Fierté Volée - La Rivalité du Tennis Dans un petit village où le sport régnait en maître, il y avait un groupe d’amis, unis depuis toujours, mais marqués par une profonde rivalité dans leur passion commune pour le tennis. Hugo et Marc étaient les deux stars locales. Chacun d’eux rêvait de briller, de devenir le meilleur, et leur rivalité s’était intensifiée avec les années, alimentée par des matchs épiques et des victoires décisives. Ils avaient tous deux un talent certain, mais ce qui les distinguait, c'était leur caractère. Hugo était le type de joueur sûr de lui, parfois arrogant, qui savait charmer les spectateurs avec son jeu flashy. Marc, en revanche, était plus discret, un peu plus mystérieux, mais son approche du jeu était redoutablement technique. Ce qui fascinait Marc dans le tennis n'était pas seulement la puissance des coups, mais les petits détails qui l'inspiraient. Il avait une préférence particulière pour les femmes aux cheveux très courts, parfois rasés. Il adorait toucher leurs têtes, les caresser doucement, comme s'il ressentait une connexion avec la texture de leurs cheveux, qu’il comparait à la sensation d’un ballon de tennis. Ce geste, qu'il répétait sans cesse, le rendait plus concentré, plus précis dans ses mouvements. Pour lui, cela avait presque un effet mystique. Il s’imaginait que cette sensation de toucher, de sentir la texture, lui permettait de mieux contrôler ses coups, de rendre son jeu encore plus redoutable. Son regard était souvent ailleurs, distrait par ces pensées, mais quand il se retrouvait sur le court, il devenait une machine technique, un joueur d'une précision remarquable, presque implacable. Mais cette obsession pour la perfection dans le jeu, alimentée par ses rituels personnels, ne faisait qu’accentuer la rivalité entre lui et Hugo. Chaque victoire était un test de ses capacités, mais aussi une occasion de prouver sa supériorité, pas seulement sur le terrain, mais dans ses choix de vie. Mais la rivalité ne se limitait pas qu’au tennis. Ils avaient aussi un cercle d’amis proches, et dans ce groupe, il y avait deux jeunes femmes de la grande ville qui assistaient souvent aux matchs, fascinées par les prouesses des garçons. L’une d'elles était la copine du cousin du meilleur ami d’Hugo, et cela ajoutait une dimension supplémentaire de complicité et de tensions à cette histoire. Un jour, après un tournoi important où Marc avait triomphé d'Hugo lors d'un match décisif, une tension nouvelle s’installa. Hugo, fou de rage et n'acceptant pas sa défaite, chercha à se venger. Mais cette fois, il n’était pas seulement en compétition sur le court. Il remarqua qu'Emma, la petite amie de Marc, lui accordait de plus en plus d’attention, surtout après la défaite de Marc. Sans scrupules, Hugo utilisa son charme pour séduire Emma, créant ainsi une double trahison : il volait non seulement la victoire de Marc, mais aussi la fierté qu’il avait de sa relation. Marc, quant à lui, n’était pas insensible aux regards de Léa, qui avait toujours eu un faible pour lui, bien qu’il ne l'ait jamais remarqué auparavant. Après tout, Léa était une amie, et il n’aurait jamais cru qu’elle pourrait lui cacher un tel désir. Mais, à la suite de plusieurs discussions, un lien plus intime se créa entre eux. Marc savait que cette relation naissante irriterait Hugo, et il en joua, sans se rendre compte qu’il agissait tout autant par vengeance. Les matchs entre Hugo et Marc continuèrent, mais l’enjeu n’était plus seulement sportif. Il était devenu une question de fierté, d’humiliation et de possession. Les deux jeunes hommes cherchaient à s'imposer non seulement sur le terrain, mais aussi dans la vie des autres, en manipulant les sentiments d’Emma et de Léa pour prouver leur supériorité. Mais ce qu’ils ne voyaient pas, c’était que leurs actions brisaient les liens d’amitié et de confiance, non seulement entre eux, mais aussi avec les filles. Un jour, lors d’un tournoi crucial, la vérité éclata. Emma, ne supportant plus de se sentir utilisée, confronta Hugo : "Tu m'as manipulée, comme tu manipules tout le monde autour de toi. Tu voulais gagner sur tous les fronts, mais tu as perdu ce qui comptait vraiment." Marc, qui avait surpris la scène, se rendit compte qu’il n’était pas mieux. Léa, se sentant trahie, lui dit : "Tu as joué à un jeu dangereux, et à force de manipuler, tu as perdu ma confiance." Lors de ce tournoi, Hugo et Marc furent confrontés à leur propre comportement. Ils avaient sacrifié leur amitié, leur respect et leur fierté pour des victoires éphémères, et la réalité les frappa brutalement. Leurs triomphes sur le court n’avaient plus la même saveur, car ils avaient volé la fierté des autres en cherchant à écraser leurs proches. À la fin de ce tournoi, personne ne parla de qui avait gagné ou perdu. Ce qui restait entre eux, c’était un sentiment amer de trahison et de regrets. Le tennis, qui avait commencé comme un simple jeu, était devenu le terrain d’une guerre qui avait détruit leurs relations. Ils partirent chacun de leur côté, conscients que la véritable victoire résidait dans la sincérité et le respect, et non dans les manipulations ou les trahisons. Leurs racquets, laissés dans le coin du terrain, semblaient symboliser un souvenir d’un temps où la compétition était encore saine, avant que la fierté des autres ne soit volée sans scrupules.

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