Les pianos aux touches d’ivoire, aux touches d’ébène, se souviennent de leurs racines, se racontent leurs errances, depuis qu’ils ne sont plus ni éléphants nomades, ni arbres géants. Pendant qu’elle joue du Chopin, la jeune fille gracile, si bien élevée, Victoria ou bien Edmée, enfant du Congo belge, ou de l’empire anglais, le piano raconte en sourdine une mélodie triste . Pendant que l’on écoute, sages sur des chaises droites, le piano pleure, il se souvient des senteurs de prairies, des ombr
Artiste : C.Franck | Voir ses œuvres | dessin | Visite : 184 | Prix : 50 €
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