Acrylique 22*27 nov.2024. La peur quotidienne de l’emprise Emballe le cœur de la soumise. Dans le clair-obscur des jours sans fin Le cri foudroie et puis s’éteint. Les yeux révèlent l’effroi Devant le chien qui aboie. Les murs sont décidément épais Quand reviendra le mois de mai ? La femme pleure dans son lit souillé. Les portes sont toutes fermées. C’est une douleur infinie Qui s’évanouit dans la nuit.
Artiste : GHYVES | Voir ses œuvres | peinture | Visite : 18
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